Un nouveau courant d'astrologie
Compte tenu des corrections traditionnellement appliquées aux calculs astrologiques en raison de la précession des équinoxes, la plupart des astrologues estiment que l'entrée définitive du point vernal dans la constellation du Verseau pourrait ne pas intervenir avant encore au moins 200 années. Mais il existe désormais un nouveau courant d'astrologie spiritualiste, selon lequel l'année 2012 serait une année charnière décisive, et sans doute même celle de l'avènement effectif de l'Ère du Verseau.
La première décennie du Troisième Millénaire est une période très particulière, une période où chacun va devoir se préparer intensément, car un bouleversement majeur pourrait intervenir en 2012, année qui marquerait ainsi pour l'humanité le verrouillage définitif d'une très longue Ère de préparation, de maturation, puis d'accélération en vue du démarrage d'une nouvelle phase d'expérimentation.
La fin d'un cycle de 26.000 ans
Selon l'ancien calendrier Maya, nous atteindrons alors la fin d'un cycle de 26.000 ans. Puis viendra le Changement d'Âge, le temps de la grande Transition vers ce que les Mayas appelaient ''l'Âge Itza,'' un âge de Lumière et de Sagesse dans la conscience de la multidimensionnalité.
Coïncidence ou non ? à Fort Lauderdale, en Floride, un groupe d'astrophysiciens a récemment mis en évidence que la Terre était en ce moment même en train d'achever sa révolution autour du Soleil central de notre galaxie, qui dure elle aussi 26.000 ans. Ils ont associé à cette fin de cycle un phénomène générateur de perturbations électromagnétiques et cosmo telluriques gigantesques qu'ils ont identifié sous le nom ''d'effet de tressaillement'' (wobble effect) et qui est supposé précéder de quelques années seulement l'amorce d'une nouvelle révolution.
Certains se souviennent peut-être également de ces intenses journées des 16 et 17 août 1987 qui marquèrent la première grande méditation mondiale pour la paix. Cette manifestation, baptisée à l'époque ''Convergence Harmonique,'' avait justement été organisée pour inaugurer les 26 dernières années de ce cycle de 26.000 ans.
Bouleversements
Car cette ultime millième fraction de cycle que nous avons abordée est probablement la période la plus cruciale que l'humanité ait eue à affronter depuis bien des éons. Les mini bouleversements que nous subissons aujourd'hui ne sont à l'évidence que les premiers soubresauts liés à cette fin de révolution cosmo planétaire, et au-delà, toutes les données géo-biologiques risquent de s'en trouver profondément affectées. À partir de la fin de l’année 2012 en effet, et en même temps que le point vernal pénétrera dans la constellation du Verseau pour une période de 2.167 années, nous entamerons le nouveau cycle, où tout devrait être différent et où la vie elle-même devrait vibrer selon un rythme que nous avons encore du mal à concevoir.
La décennie que nous venons d'aborder est donc une période de purification et d'accélération vibratoire pour toute l'humanité. C'est aussi un temps d'éveil, au cours duquel nous devrions accéder progressivement à une autre réalité, commencer à intégrer nos corps de Lumière et réactiver nos aptitudes télépathiques naturelles, afin de pouvoir entamer, le 21 décembre 2012, ce nouveau cycle dans les meilleures conditions. Car, à partir de cette date, rien ne sera sans doute plus jamais comme avant...

Selon une vieille légende indienne, il existe treize anciens crânes de cristal, dont on raconte qu'ils parlent ou qu'ils chantent. Ces crânes, dit-on, renferment d'importantes informations sur les origines de l'humanité, sur sa finalité et son destin, ainsi que les réponses à quelques-uns des grands mystères de la vie et de l'univers. Un jour, si l'on en croit ces prophéties ancestrales, tous les crânes de cristal seront réunis pour que l'humanité puisse accéder à la sagesse collective.
La Découverte du Crâne de Mitchell-Hedges
En 1924, Anna Mitchell-Hedges a 17 ans Son père adoptif, l'explorateur anglais Frederick Mitchell-Hedges, explore les ruines d'un temple de la cité Maya "des pierres tombées" à Lubaantùn, au Belize quand Anna aperçoit du haut de la grande pyramide de cette cité un éclat de lumière. Les fouilles sont alors dirigé vers l’endroit indiqué par la jeune fille.
L’édifice d’ou provenait l’éclat n’avait pas d’ouverture. Les archéologues enlevèrent les pierres du haut minutieusement pendant plusieurs semaines. Une fois l’ouverture assez grande, Anna fut glissé, 2 cordes nouées autour de sa taille et une lampe fixée sur son front.
Arrivé en bas elle aperçu un objet qui reflétait la lumière de sa lampe. Elle le pris et remonta a la surface.
Une fois revenue à la lumière du soleil, Anna essuya la poussière qui recouvrait sa découverte et découvrit qu’il s’agissait d’un crâne sculpté dans un magnifique bloc de cristal de roche limpide, qui capturait et réfléchissait la lumière d’une manière aussi complexe que fascinante.
En dehors de l'absence des sutures crâniennes, c'est une reproduction quasi parfaite d'un crâne humain féminin. Il pèse 5 kg . Il est composé de deux morceaux, la mâchoire inférieure s'ajustant exactement à la partie supérieure et provenant du même bloc de cristal de roche.

Analyse Scientifique du Crâne de Cristal
Hewlett Packard est l'un des principaux contructeur mondiaux d'ordinateurs et autre matériel électronique. Un grand nombre des appareils qui sont fabriqué utilisent des cristaux. Ainsi à la fin des année 70, des tests furent pratiqués par le laboratoire de recherche sur les cristaux de Hewlett Packard à Santa Clara en Californie.
Après 6 mois de tests, voici les conclusions
Les propriétés optiques du crâne sont étonnantes :
éclairé par le dessous, la lumière jaillit par les orbites.
Frappé à l'arrière par les rayons du soleil, un faisceau lumineux intense ( susceptible de mettre le feu ) jaillit des orbites, du nez et de la bouche.
Il est constitué d'un quartz naturel extrêmement pur, du dioxyde de silicium "piézo-électrique" anisotrope.
Les deux morceaux sont taillés dans le même bloc de cristal de roche.
Aucune trace d'instrument, ni marque microscopique quelconque.
Sans trace d'usinage, il est impossible de dater sa fabrication ( le cristal ne vieillit pas ).
Avec une technologie moderne au diamant il faudrait un an de travail pour obtenir l'aspect extérieur ( avec des traces d'usinage, ce que ce crâne n'a pas ! ), quant aux effets prismatiques, leur reproductibilité est encore plus difficile.
La fabrication manuelle aurait requis 300 années de labeur continu !
Un chercheur de l'équipe aurait déclaré :
« Ce sacré truc ne devrait même pas exister ! »
Depuis 1997, on recense une nouvelle forme de miracle : le cercle de lumière. Ces cercles apparaissent généralement sur les murs extérieurs des bâtiments, et l'on a pu en observer toute une variété dans plus de soixante endroits différents, dans le Vermont, ainsi que dans d'autres villes, toujours au nord-est des Etats-Unis. [Depuis cette date, il en a été signalé en Grande-Bretagne, au Japon, en Slovénie, en Hollande, en Allemagne, en Suisse etc.]
Dans la plupart des cas, ces cercles apparaissent lorsqu'il y a du soleil, et que les rayons de lumière arrivent sous un certain angle, leur permettant d'atteindre une ou plusieurs fenêtres et de se refléter sur le mur d'une maison voisine. Certains sont visibles seulement de bonne heure le matin; d'autres apparaissent à midi, ou en fin d'après-midi pendant quelques heures, d'autres ne sont visibles qu'au printemps et en automne, et certains apparaissent même au clair de lune. Beaucoup ont pu être observés au même endroit plusieurs années de suite, alors que d'autres apparaissent pendant un instant puis disparaissent. Ils se déplacent de manière typique vers le haut ou vers le bas, suivant l'angle du soleil et la rotation de la Terre, certains descendant parfois si bas qu'ils apparaissent sur le sol. Certains sont étonnamment brillants, et l'on a pu voir six cercles différents, parfois doubles, au même endroit. Parfois ils apparaissent sur plusieurs maisons voisines.
De nombreux cercles ont également été signalés, et même photographiés, dans d'autres circonstances. Ils sont apparus sur les murs d'une chambre dont les occupants avaient lu un article à leur sujet, ils sont apparus sur le trottoir apparemment pour répondre au souhait de personnes qui espéraient en voir, on en a même vus sur des voitures et des vêtements, l'un d'entre eux est même demeuré sur la chemise d'un homme lorsqu'il est entré à l'intérieur d'une maison. Un autre homme était assis dans un café lorsqu'il vit un cercle sur un bus qui passait, quelqu'un d'autre a raconté qu'il avait vu en se promenant des cercles sur toutes les maisons de la rue.
Des formes exceptionnelles sont également apparues, par exemple un X brillant, au milieu d'un rectangle. On a pu voir certains motifs se transformer de manière significative en l'espace de quinze minutes.
Dans deux cas particuliers, la lumière s'est réfléchie sur la maison de membres d'un groupe de transmission, formant des cercles sur les maisons voisines. On n'a signalé aucun cas de guérison en relation avec ces cercles, mais certains affirment que les motifs deviennent plus brillants lorsque des personnes méditent à proximité.
Ces splendides phénomènes inspirent un sentiment de respect mêlé de crainte. Des personnes familiarisées avec la géométrie sacrée ont pu identifier certains motifs, par exemple la vesica pisces, ou Fleur de Vie, à l'intérieur de nombreux cercles.
Michael Glickman, qui fait des recherches sur les figures géométriques dans les champs de céréales et qui est éditeur de la revue Crop Circle Radius, s'est intéressé aux images lumineuses et il pense qu'elles ont une origine similaire à celle des pictogrammes dans les champs de céréales.
Kate Lanxner, auteur d'articles sur ces cercles de lumière, parus dans une publication locale s'intéressant aux questions métaphysiques, propose une série de cartes postales en couleurs de quelques-uns des sites les plus marquants, et est prête à servir de guide aux visiteurs qui le souhaiteraient - à condition qu'il y ait du soleil - Burlington compte en effet davantage de journées nuageuses par an que n'importe quelle autre ville des Etats-Unis
En 1938, les archéologues chinois découvrent des disques en pierre étranges dans une caverne en montagne, ils peuvent contenir un message incroyable.
Ce que le professeur cherche.
Les montagnes sont les montagnes de Baian-Kara-Ula sur la frontière qui divise la Chine et le Tibet. Une expédition archéologique, menée par Chi Pu Tei, a marché sur des chemins a peine accessible de cette montagne, et s'est arrêter sur quelques cavernes qui évidemment avaient été occupées par un peuple primitif il y a bien longtemps. Mais ce que lui et son équipe cherchaient dans ces cavernes, est quelque chose de peu commun et, si vérifié, pourrait changer tout nous savons de notre passé éloigné.
Tous les faits ne sont pas clairs et, car vous comprendrez plus tard, difficiles à vérifier. Certains des détails sont contradictoires, brouillés, ou ont pu avoir été modifiés par les auteurs imaginatifs. Mais même si une partie de cette histoire est vraie, il représente une des plus grandes découvertes de notre âge.
Tei, un professeur d'archéologie à l'université de Beijing, menait quelques étudiants sur une expédition pour examiner une série de cavernes dans les montagnes de l'Himalaya. Les cavernes ont pu avoir été artificiellement découpées, et étaient plus comme un système complexe des tunnels et de salles de stockage souterrains. Les murs ont été vitrifiés, comme si coupé dans la montagne avec une source de chaleur extrême. À l'intérieur des cavernes ce trouvait plusieurs tombeaux antiques, disposés d'une manière ordonnée, et dans ceux-ci, les restes squelettiques de drôles de gens. Les squelettes, mesurant un peu plus de quatre pieds, ils étaient frêles et les crânes étaient disproportionnément grands. Tout d'abord. il a été suggéré par un membre de l'équipe que ceux-ci pourraient être les restes d'une espèce inconnue de gorille de montagne. Le professeur Chi Pu Tei a répondu, "qui a jamais entendu parler de singes enterrant un autre?" Cependant, quel genre d'humain était ceci ?
Plus de découvertes ont étaient faites plus loin dans les cavernes. Sur les murs, des pictogrammes : le soleil, la lune, les étoiles, et la terre avec des lignes et des points les reliant. Alors l'équipe a fait la découverte la plus incroyable de tous. Moitié enterré dans le sol de la caverne, un disque en pierre, évidemment façonné par la main d'une créature intelligente. Le disque faisait approximativement neuf pouces de diamètre et trois quarts de pouce d’épaisseur. Au centre exact du rond, un trou, et une cannelure fine se développant en spirales du centre jusqu’au bord, comme un genre de disque primitif de phonographe.
Le disque, est datés entre 10.000 et 12.000 ans, de loin plus vieux que les grandes pyramides d’Egypte, c’était fantastique La merveille était multipliée, en tout, 716 disques ont été trouvés. Et chacun a tenu un secret incroyable. La cannelure, lors davantage d'inspection, n'était pas une cannelure du tout, mais une ligne continue de hiéroglyphes étranges - écriture !
Les caractères minuscules et presque microscopiques étaient dans une langue jamais vue avant. Ce n'ait qu'en 1962 qu'un autre scientifique chinois pourra décoder le message des disques en pierre - un message si incroyable que le département de préhistoire de l'académie de Beijing a interdit d’éditer sa traduction. Par la suite, le message a été édité, et ce qui est indique vous étonnera.

En 1962, un autre scientifique chinois décode finalement le message sur les disques - Le message brise tout que nous savons de l'humanité dans l'univers
Le Dr Tsum a touché la face lisse du disque avec la paume de sa main. "Qu’est ce que pourrait être ce disque?" s'est-il demandé. Il a su son histoire récente; comment il a été découvert en 1938 par un archéologue chinois dans une caverne dans l’Himalaya, avec 715 disques semblables ; comment il était enterrés tout près des squelettes d'une tribu étrange de personnes faisant en moyenne seulement plus de quatre pieds de haut ; comment on a constaté que chaque disque a été inscrit avec une cannelure minuscule qui s'est développée en spirales autour de sa face, et que la cannelure s'est avérée être un hiéroglyphe inconnu. Il a également su que les disques, aussi remarquables qu'ils soient, avaient été simplement stockés à l'université de Beijing pendant 20 années. Pendant ce temps, d'autres avaient essayé de déchiffrer les inscriptions étranges, mais sans succès. Peut-être maintenant, en 1962, il pourrait.
Le professeur a soigneusement retranscrit les caractères à partir du disque. L'écriture était si petite qu’il a dû utiliser une loupe pour la voir clairement. Mais elle était vieille - peut-être 12.000 ans, a t’on estimé. Pendant qu'il travaillait, beaucoup de questions ont harcelé le professeur. Comment ces personnes primitives gravaient ces pierres avaec autant de précision ? Comment ont-ils contrôlé l'écriture presque microscopique ? Qui étaient-ils et qu'était le but de ces centaines de pierres ? Une fois que les caractères eus étaient retranscrits, le Dr. Tsum Um Nui a commencé la tâche laborieuse d'essayer de décoder le message. Par la suite, il a commencé à accomplir le progrès. Un mot a émergé. Puis d’autres. Une expression est devenue compréhensible, puis une phrase entière. Il avait déchiffré le code. Il a apprit que les messages sur les pierres ont été écrits par un peuple qui s'est appelé les Dropa. Mais ce que disait le message a 12.000 ans. Ce que le Dropa avait écrit doit avoir été l'un de leurs mythes culturels, ou faisait partie d'une certaine cérémonie religieuse préhistorique.
Quand il a fini la traduction comme il pouvait, le professeur s'est assis en arrière dans sa chaise dans l'incrédulité. L'histoire des Dropa n'était rien de moins qu’étonnante. Comment ses collègues réagiraient-ils ? Comment le monde pourrait-il réagir si cette histoire était vraie ? Le professeur a préparé un papier sur ses résultats et l'a présenté à l'université pour la publication. Leur réaction était rapide et emphatique : le papier ne serait pas édité. L'académie de la préhistoire l'a expressément interdit d'éditer ou même de parler de ses résultats. Le monde, ne devrait rien savoir sur les Dropa.
Les résultats du Dr. Tsum Um Nui ont été par la suite édités, cependant. Juste deux ans après, il a édité le papier, pour quelques comptes, l'académie s'est radoucie et a donné la permission au professeur d'éditer le papier, et pour d'autres comptes il l'a édité en dépit de l'interdiction officielle. Dans l'un ou l'autre cas, sa traduction et sa théorie ont rencontrées le ridicule par l'établissement d'archéologie. La traduction était tout juste bonne à prendre à la valeur nominale ou comme compte historique. Il changerait tout ce que nous savons sur notre histoire et de l'humanité dans l'univers.
Ce que les pierres indiquent
Les disques de Dropa indiquent l'histoire d'une sonde spatiale d'une planète éloignée qui endommagée a atterri dans les montagnes de Baian-Kara-Ula de l'Himalaya. Les occupants du vaisseau spatial - les Dropa - ont trouvé refuge dans les cavernes des montagnes. En dépit de leurs intentions paisibles, le Dropa ont été mal compris par les membres de la tribu qui occupaient les cavernes voisines et ils les ont chassé et également tué certains d'entre eux. Une traduction d'un des passages indique : "le Dropa est descendu des nuages dans leur avion. Nos hommes, femmes, et enfants se sont cachés dans les cavernes dix fois avant lever de soleil. Quand enfin ils ont compris la langue de signe du Dropa, ils se sont rendus compte que les nouveaux venus ont eu des intentions paisibles...."
Les pierres continuent pour indiquer comment les Dropa ne pouvaient pas réparer leur vaisseau spatial endommagé et ne pourraient pas retourner sur leur planète, et ainsi ont échouées sur terre. Si c'est vrai, leurs descendants ont-ils survécu ?
Aujourd'hui, le secteur est habité par deux tribus qui, en fait, s'appellent les Dropa et les Han. Ont ne pu classer l'une ou l'autre tribu dans n'importe quelle autre race connue ; ils ne sont ni des Chinois ni le Tibétain. Les deux tribus sont de stature pygméenne, les adultes mesurant entre 3,6 et 4,7 pieds avec une taille moyenne de 4,2 pieds, et de poids entre 38 à 52 livres. Ils sont jaunes avec le corps minces et les têtes d'une façon disproportionnément grands, correspondant aux restes squelettiques trouvés dans les cavernes en 1938. Ils ont les cheveux clairsemés et ont de grands yeux qui ne sont pas asiatiques dans l'aspect, mais ont les iris bleu clair.
Il y a également un conte chinois antique qui pourrait soutenir la thèse des Dropa. Le conte raconte l'histoire d'un peuple, petit, mince, jaune qui est descendu à la terre des nuages, et qui ont été évités par chacun en raison de leur maigreur.
Propriétés Étranges
En 1968, les pierres de Dropa sont venues à l'attention de W. Saitsew, un scientifique russe qui a republié les résultats d’Um Nui Tsum et a effectué des essais sur les disques qui ont indiqué quelques propriétés très particulières. Physiquement, les pierres de granit contiennent des concentrations élevées de cobalt et d'autres métaux - une pierre très dure en effet qui aurait rendu difficile pour que les personnes primitives découpent le lettrage, particulièrement avec de tels caractères minutieux. En examinant un disque avec un oscillographe, un rythme étonnant d'oscillation a été enregistré comme si, par le passé, ils avaient été électriquement chargés ou avaient fonctionné comme conducteurs électriques.
Les pierres des Dropa ressembles à un puzzle intrigant pour des archéologues et des anthropologues. Est-ce que les visiteurs de Dropa viennent vraiment d'une certaine planète éloignée, ou leur histoire est simplement un mythe de la création qui aurait été imaginé par une culture primitive ? Si c’est le cas, il additionne un tel "mythe" au grand nombre d'histoires de cultures antiques qui réclament que leurs descendants sont venus des cieux. Si non, les pierres de Dropa pourraient représenter la première visite enregistrée d'une civilisation étrangère à notre planète. Pour l’instant, les pierres de Dropa restent non expliquées.